Ma mère a refusé que quiconque écrive sur nos corps
et autres nouvelles de Palestine
Ma mère a refusé que quiconque écrive sur nos corps et c’est elle qui écrit : nom, prénom, père, mère, lieu et date de naissance. Pour que les corps ne se dispersent pas en Débris. Pour que l’humanité demeure.
Lorsque nous entendons ces deux poèmes pour la première fois, ils résonnent avec les périodes sombres de l’espèce humaine. Ils font leur chemin dans nos corps, comme un cri pour l’humanité, venu de Palestine par la voix de Hanine Amine et de Mustapha Benfodil.
Les peintures de Thomas Azuelos explorent ce chemin et ce cri, elles donnent à voir le corps, entre lambeaux et humanité magnifiée, entre horreur et jouissance
Éditeur Le port a jauni
ISBN 9782494753150 – 2024 – 24 pages – 12 €
Hanine AMINE – Poésie
Mustapha BENDOFIL – Poésie
Thomas AZUELOS – Peinture
Lotfi NIA – Traduction
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