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Biennale de Venise

Artistes soutenant ANGA

Les artistes affichent les étiquettes de l'ANGA à côté de leurs œuvres pour soutenir notre campagne.

ANGA réitère sa demande de fermeture totale du pavillon.

La campagne d'ANGA a fait en sorte que la Biennale de Venise ne puisse pas se dérouler comme d'habitude alors qu'Israël commet un génocide contre les Palestiniens de Gaza. L'équipe artistique du pavillon israélien s'est retirée en conséquence directe de la pression généralisée et de notre campagne collective.
Le pavillon du génocide a été contraint de répondre aux 24 000 signataires qui condamnent le génocide israélien contre les Palestiniens de Gaza mais, contrairement à ce que prétend l'équipe artistique, elle ne s'est pas retirée et le pavillon n'a pas été fermé.
L'ANGA n'applaudit pas les gestes vides et opportunistes, programmés pour une couverture médiatique maximale, et laissant les œuvres vidéo à la vue du public, alors que des Palestiniens sont tués par Israël toutes les heures et que des millions d'entre eux sont confrontés à une famine imminente.
L'ANGA appelle à la fin du génocide perpétré par Israël contre les Palestiniens de Gaza, à la fin de l'apartheid et à la fin de l'occupation de la Palestine.
L'ANGA appelle tous les travailleurs culturels de conscience à se joindre à nous dans ces demandes explicites. Nous refusons tout ce qui est moins que cela.
Toute représentation officielle de l'Etat d'Israël sur la scène culturelle internationale est une approbation de ses politiques et du génocide à Gaza.

PAS DE VITRINE.
ANGA demande l'exclusion d'Israël de la Biennale de Venise.
Fermez le pavillon.
Pas de mort à Venise.
Pas de business as usual.

Guide des complicités et des protestations à la Biennale de Venise

Un guide pratique à télécharger pour boycotter le pavillon du génocide, comprenant des informations sur le pavillon du génocide, la complicité de la Biennale de Venise avec le génocide, des faits et des chiffres sur le génocide, un historique des protestations à la Biennale, la Palestine à Venise, une carte des Giardini sur la complicité internationale avec le génocide, et comment vous pouvez contribuer à fermer le pavillon du génocide et arrêter le blanchiment du génocide par l'art.

L'art palestinien dans les rues

L'exposition "Palestinian Art in the Streets" se déroule dans les rues de Venise et présente 40 œuvres de 13 artistes palestiniens, dont Bayan Abu Nahla, le collectif Eltiqa (Dina Matar, Mohammed Al Hawajri, Mohamed Abusal et Raed Issa), Hadil Alsafadi, Halima Aziz, Hazem Harb, Heba Zagout, Khaled Hourani, Malak Mattar, Maram Ali et Narmeen Hamadeh.

La Palestine à Venise

Malak Mattar : Le cheval est tombé du poème
Du 17 avril au 14 juin
Galerie Feruzzi (Dorsoduro 368, Venise)

No Words est une grande peinture qui documente les événements déchirants de la destruction en cours de la bande de Gaza, dans laquelle plus de 30 000 Palestiniens ont été tués et des milliers d'autres blessés à ce jour. Elle dépeint la dévastation infligée aux vies humaines, aux animaux, aux sites archéologiques et aux bâtiments historiques les plus chers, ainsi que l'impact profond des déplacements forcés, qui ont éviscéré la société palestinienne depuis des générations. S'inspirant de témoignages et d'images provenant de sa famille et de ses amis, de la presse et des médias sociaux, Mattar a réalisé l'œuvre exposée pendant un mois au début de cette année, en janvier 2024.

Mattar (née en 1999 à Gaza, Palestine) est une artiste connue pour avoir écrit et illustré le best-seller pour enfants Sitti's Bird (2021), basé sur son expérience de la vie sous l'occupation. Mattar expose ses œuvres dans le cadre de l'exposition "Palestinian Art in the Streets" (l'art palestinien dans les rues) organisée par ANGA à Venise.

SOUTH WEST BANK - Œuvres terrestres, action collective et son
Du 20 avril au 24 novembre
Galerie Magazzino Palazzo Polignac (Dorsoduro 878, Venise)

L'exposition "SOUTH WEST BANK-Landworks, Collective Action and Sound", organisée par Jonathan Turner, se concentre sur les œuvres produites par des artistes, des collectifs et des alliés dans le sud de la Cisjordanie, en Palestine, et aux alentours.
Les artistes participants s'intéressent aux aspects de la terre, de l'agriculture et du patrimoine dans une topographie en constante évolution. Les artistes partagent une voix centrée sur les transmissions historiques de la mémoire et de la collectivité. Les œuvres incarnent l'idée que le "chez-soi" est fortement enraciné dans de nombreuses pratiques traditionnelles. Les œuvres présentées dans l'exposition expriment un Anthropocène enraciné dans la dépossession et l'occupation forcées.
L'exposition comprend des œuvres de Samer Barbari, Adam Broomberg, Duncan Campbell, Rafael González, Isabella Hammad, Shayma Hamad, Chris Harding, Baha Hilo, Adam Rouhana, Emily Jacir, Sebastian Jatz Rawicz, Benjamin Lind, Jumana Manna, Michael Rakowitz, Mohammad Saleh, Vivien Sansour, Andrea de Siena et Dima Srouji. En outre, les participants du Researching Palestine Zine Group coordonné par Chris Harding comprennent Suzannah Henty, Raghad Hilal, Ramzi Nim, Hanna Salmon, Laura Tibi et Marta Wodz.
Organisé par Artists + Allies x Hebron et présenté en collaboration avec Dar Jacir for Art and Research à Bethléem. Sélectionné comme événement collatéral de la 60e exposition internationale d'art de La Biennale de Venise.

Le pavillon palestinien
Quel est l'avenir de l'art ?
Un manifeste contre l'état du monde

Cette année, le Pavillon palestinien à la Biennale de Venise prend la forme d'un manifeste, présenté sous la forme d'une brochure Xerox A3. Il est hébergé par plusieurs pavillons et espaces d'art autour de Venise.
Le Pavillon palestinien est organisé par un groupe anonyme d'artistes et de praticiens de la culture du monde entier.

Le Bateau de la liberté
18-19 avril, 16h-18h
Riva dei Sette Martiri, Venise

Poésie pour la Palestine. Une série de lectures en marge de la Biennale avec des mots de Maya Abu Al Hayat, Fady Joudah, Hala Alyan, Edward Salem, Ghassan Khanafani, Mosab Abu Toha, Refaat Elareer, Mahmoud Darwish, Zaina Alsous, Etel Adnan, Eileen Myles, et bien d'autres encore.
Le livre de poésie comprend des illustrations des artistes Aml El Hakhala, Hazem Harb et Adel Altaweel. Drapeaux maritimes sur mesure de Nicole Eisenman et Rosalind Nashashibi.
Organisé par Artists Against Apartheid, Bidoun, WAWOG et la fondation Kamel Lazaar.