La Vie qui nous reste

(The life that remains)

Un film de Dorra Zarrouk

Palestine/Égypte, 2024
Documentaire, 79 min

Langue: Arabe
Sous-titres: Français, Anglais, Espagnol, Italien, Allemand, Néerlandais

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Résumé : Une famille palestinienne, déracinée de Gaza après la guerre du 7 octobre 2023, affronte la perte, la résilience et l’espoir, tout en rêvant de retourner dans une patrie brisée par la destruction et l’exil.

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Synopsis : Ce documentaire raconte l’histoire d’une famille palestinienne – la mère, le père et leurs huit enfants – qui a fui Gaza pour l’Égypte trois mois après le début de la guerre du 7 octobre 2023. Parmi les membre de la famille, Nadine, jeune mère de jumelles nées après des années de lutte pour concevoir.

La famille fait face à la perte de sa maison, de ses biens et de ses proches restés à Gaza, un endroit qu’ils chérissaient comme leur chaleureux petit monde.

Désormais déplacés en Égypte, ils rêvent de retourner dans leur patrie, mais la destruction de Gaza jette un doute sur leur avenir, évoquant la tragédie d’une seconde Nakba. Portant symboliquement la clé de leur maison détruite, ils affrontent la perte d’un lieu qu’ils ne retrouveront peut-être jamais. À travers des réflexions émouvantes et des images marquantes, le film immortalise leur parcours, y compris la visite secrète de Nadine à Jérusalem pour donner naissance à ses jumelles, ainsi que le départ de la famille par le passage de Rafah.

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Scénario : Dorra Zarrouk
Image : Nancy Abdelfatah, Khaled Galal
Montage : Mona Rabie

Production : “New Phase Production“

Distribution : GAWL
https://gawl.eu/the-life-that-remains/
contact@gawl.eu
+33 983841300

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Première réalisation cinématographique de Dorra Zarrouk, actrice

Née en 1980 en Tunisie, Dorra Zarrouk est une actrice tuniso-égyptienne, titulaire d’un master en sciences politiques de l’Université Saint-Joseph de Beyrouth.
Elle commence sa carrière en tant que mannequin, puis entre dans une troupe de théâtre où elle joue dans une pièce du metteur en scène Taoufik Jebali. Elle suit plusieurs stages et ateliers d’art dramatique auprès de Fadhel Jaïbi et Nawal Skandrani, Tony Cots, Michel Kelemenis parmi d’autres. Entre 1997 et 1998, elle participe à Chutt et Ikâa avec la chorégraphe tunisienne Sihem Belkhodja.
Elle débute à la télévision tunisienne dans une série de contes, écrite et réalisée par le cinéaste Nacer Khémir.
Au cinéma, elle obtient des rôles dans deux longs métrages : Khorma (2002) de Jilani Saadi et La Villa (2004) de Mohamed Damak. Elle réside en Égypte et y joue dans plusieurs séries telles que Zay El Ward (2012) et Segn El Nessa (2014).

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